La communication et le lien entre les gens sont deux éléments que l’on retrouve tout au long de mon parcours. Le monde des télécommunications en tant qu’apprenti, l’éducation, les sciences de l’éducation puis l’enseignement en travail social témoignent de mon besoin d’être en lien avec les êtres humains, avec pour fil rouge la volonté d’apporter mon aide aux plus démunis.
J’ai choisi d’orienter mes formations et ma carrière dans des métiers d’aide suite à un séjour à New York où j’ai été témoin de l’indifférence des gens face à une misère inacceptable dans une ville aussi riche.
Mon envie de devenir travailleur social était née.
Des compétences pratiques, des connaissances théoriques favorisant la réflexion et l’esprit critique ainsi qu’une meilleure compréhension du monde avec ses bons et ses moins bons côtés.
Transmettre mon enthousiasme et ma passion pour les métiers du social à la nouvelle génération. Je ne me suis jamais ennuyé et je n’ai jamais cessé d’apprendre et de me remettre en question.
C’est essentiel. Nous sommes les témoins vivants de la perméabilité du système de formation en Suisse.
Tout est possible, à tout âge. Il existe tellement de possibilités de formation, de passerelles, de perfectionnement.
Du CFC à la HES, il n’y a que quelques pas et chaque étape est importante pour passer à la suivante.
L’envie je l’espère qu’un jour leur cheminement professionnel les amènera à franchir la porte d’une HES. C’est le plus grand réseau de formation supérieure professionnelle, d’une très grande qualité accessible à toutes celles et ceux qui s’en donnent les moyens.
Le monde du travail n’est pas seulement difficile ou exigeant malgré les difficultés et le changements auquel il a à faire face. Mais il est surtout passionnant et ouvre à de multiples possibilités d’évolution dont la HES fait partie.
L’enthousiasme de ces milliers de jeunes est très rassurant pour l’avenir. Quels talents !